À première vue, il pourrait sembler que la perruque Lolita coton-sucrerie-bleue Coco Columbia porte sur scène est tout simplement un morceau de marketing. Mais il a effectivement commencé comme une couverture de sécurité.


«Je n'avais jamais chanté en public dans ma vie», dit-elle en rappelant les premiers spectacles qui ont fait face à son propre groupe il ya deux ans. "J'étais super-nerveux, et je pensais trouver quelque chose de drôle à porter qui me fait me sentir comme une autre personne quand je joue."

Columbia sait qu'il faut changer pour que les choses fonctionnent. Originaire de Bend qui a grandi en étudiant le jazz perruque cheveux long, elle a abandonné ses programmes de jazz à l'Université de l'Oregon et à l'Université d'État de Portland avant d'essayer de composer des morceaux.

«Après avoir abandonné, j'ai commencé à m'apprendre à chanter et à faire des rythmes et à jouer au piano», dit-elle. "Je n'avais jamais joué un spectacle sans tambouriner avant."

Vouloir jouer des lieux autres que des clubs de jazz, Columbia a mis ses regards au-delà du genre musical qu'elle a grandi étudier. Sur son dernier disque, When the Birds Begin to Walk de 2016, des chansons comme "Weight on Limb" tourbillonnent avec des harmonies de guitare et des boucles de tambour compliquées, équilibrées par des voix chantantes, Sia-esque. Le reste de l'album offre d'autres bijoux perruque noir, comme une couverture profondément rythmique de "Running Up That Hill" de Kate Bush et "Lionhearted", une odyssée acid-jazz avec des paroles influencées par le film Hayao Miyazaki My Neighbor Totoro.

Les auditoires ne savent souvent pas quoi faire de Columbia au début. Mais l'éventail des influences dans son songwriting - et son groupe extrêmement talentueux - les gagne généralement plus. Dans les quelques années depuis qu'elle a mis la première perruque bleue, Columbia est devenu plus confortable dans sa propre peau. Mais forcer les gens hors de leurs zones de confort reste une priorité élevée.